dimanche 28 juillet 2013

Retour à Baléal

Qu'y a t-il de pire que de dormir à côté de la discothèque? Se réveiller sous la pluie et se rendre compte que la tente n'est pas étanche! Il pleut dans la partie centrale. Quant à notre chambre, la paroi touche le double toit. Bilan : matelas, draps housse et drap de couette mouillés...

Heureusement, les nuages cèdent la place au soleil. Les choses mouillées sècheront dans la journée. Cette journée, nous la passons à la plage. Pas la peine de prendre le camion : il suffit de traverser la route et hop, c'est la plage!




Surf et farniente au soleil.



samedi 27 juillet 2013

Azenhas do mar

On quitte le camping de Guincho et Cascais en direction des piscines naturelles d'Azenhas do mar. C'est beau, cette piscine d'eau de mer, à flanc de falaise. Pour moi, c'est exactement ce que je cherche au Portugal : un village, avec un panorama superbe, pas de touriste (et c'est vrai qu'il n'y a que des familles portugaises autour du bassin aménagé), pas d'immeubles...


C'est peut-être la température de l'eau qui a freiné le développement de ce village : l'ainée s'y trempe jusqu'au cuisses. Mais Maé et moi, on est super motivées... Et on se baigne complètement.


Bien revigorées, on repart en dircetion de Peniche. C'est là qu'on a choisi de finir nos vacances. Sur la route, on repasse par Ericeiras : il y a quelques belles vagues!

Cette fois, à Peniche, on prend le camping le moins cher : on est samedi et il y a foule à la recepaçao. C'est le Weekend... Pas moins de 30 minutes plus tard, on s'installe. Monter la tente est toujours aussi pénible : cette tente est en fin de vie, ça se sent...

On se couche, certains de bien s'endormir rapidement... ça ne sera pas le cas : nous sommes juste derrière la discoteca!

vendredi 26 juillet 2013

Guincho

Ah, que c'est agréable d'être dans un "vrai camping"! On prend notre temps... puis on part découvrir les alentours :  On fait quelques courses et retour au camping. Après le repas du midi, tentative de sieste puis aquarelle pour l'ainée et moi, grosse sieste pour Maé et surf pour le papa (très bon spot, d'ailleurs...).

Au réveil de Maé, on file à la piscine. Dommage qu'il ne fasse pas très chaud. Après le repas du soir, on fait une grosse partie de foot avec les filles et les enfants des voisins : L'ainée est ravie d'avoir trouver un copain pour explorer et jouer dans les allées du camping jusqu'à la tombée de la nuit.

jeudi 25 juillet 2013

Sintra

On lève le camps : pas question de rester à Sesimbra où tout est payant! On retourne vers le Nord (il faut bien penser au retour...).

On choisit d'aller vers Azenhas do mar, mais en faisant une halte à Sintra.

Après avoir re-traversé le pont du 25 avril, puis Lisboa, on file vers Sintra. On se gare tout en bas de la ville, sans trop de difficultés et on opte pour une visite du Palacio Nacional (plus accessible que le Palais de Pena qui nécessite 1 km de marche...). C'est beau. Toute la ville est belle.





On finit quand même par grimper au sommet de la colline pour voir de loin le palais un peu fou de Pena. C'est vraiment la journée découverte du patrimoine car, avant de quitter Sesimbra, on a fait un petit détour pour voir des empreintes de dinosaure dans la pierre!


Après Sintra, on suit le petit train qui va à Praia das maças, vers un camping qu'on a repéré sur le Lonely planete. Sauf que le camping en question est fermé depuis belle lurette! Il faut descendre vers Cascais. Les filles en ont marre... Et nous aussi. La route est sinueuse et on passe à côté du Cabo da roca.


Mais l'arrivée au camping Orbithur compense largement le ras le bol des filles : 2 piscines, bar, resto, magasin, un accueils très souriant. Bref, après les formalités, on file à la piscine pendant que le surfeur installe notre campement...

On mange une grosse gamelle de pâtes à la tomate après avoir pris l'apéro au bar du camping. "Ah, enfin un vrai camping!" dit l'aînée... La phrase du jour!


mercredi 24 juillet 2013

Sesimbra

Après quelques hésitations, on prend l'option la plus raisonnable : nous n'irons pas en Algarve cette année. C'est trop loin. La prochaine étape, la plus méridionale, c'est la péninsule de Sétubal. On file donc vers le Sud.

Il nous faut passer Lisboa. Un peu d'appréhension face au flux de voitures et à la multitudes de possibilités de se perdre... Mais on se débrouille plutôt pas mal. On s'offre le luxe de dévier de l'itinéraire prévu pour passer prendre des recharges de gaz au décathlon... Maé roupille toute la matinée dans le camion.


On passe le Tage par le pont du 25 avril et on arrive à destination (en se perdant quand même un peu...). Sur place, le camping d'Aldeira do meco est super décevant. Il est entièrement consacré au mobilhome. Les camions et les tentes sont relégués à un pauvre parking à l'entrée ou à une zone peu ombragée et en pente derrière les sanitaires. Et la piscine est payante (et chère). Certes, il y a la vue mer, mais ça ne compense pas.

On change d'avis. On pousse jusqu'à Sesimbra, même si la description de la ville par le routard n'est pas terrible.

La première impression est plutôt agréable : on visite le château Maure qui domine la ville et la vue sur la baie est splendide.


Le camping, municipal, est également très agréable : l'accueil est fort sympathique. Il n'y a pas beaucoup de monde, surtout des habitués en caravane.

On s'installe (ce qui n'est pas le plus simple : bien choisir son emplacement, à l'ombre, à l'abri du vent, avec un sol pas trop dur et surtout SANS FOURMIS!).

Puis pour les filles, on file à la plage. La ville n'a rien de bien folichon. On dirait une ville balnéaire de la côte espagnole : au départ, un mignon village de pêcheur, mangé petit à petit par le tourisme de masse. ça veut dire quelques ruelles mignonnes entourées de beaucoup d'immeubles. La plage se réduit à une mince bande de sable, et une toute petite partie de cette bande est libre de parasol et de transat payant. Pas vraiment ce que l'on recherche... Le pompon, c'est le stationnement difficile et payant jusqu'à 22h. On sait alors que Sesimbra ne sera qu'une courte étape dans notre voyage.


Sur la plage, un vente fort se lève, rendant la baignade difficile, puis le simple fait de rester sur la plage franchement désagréable.

Cette impression globale plutôt négative sera sauvée par notre repas du soir. À la recherche d'un resto, on choisit, par hasard, celui qui sent bon, où la déco est simple et qui est bondé de familles portugaises. C'est le O Golfinho et c'est un excellent choix. Notre meilleur resto du voyage.

On se couche bien gavés.


mardi 23 juillet 2013

Ribeira d'Ilhas

On dort très bien. Le matin, au réveil, on se rend dans la ville d'Eiriceras à la recherche de lunettes de soleil pour le filles qui ont les yeux bien rouges... Et oui, on a pensé à la crème solaire, mais les lunettes... Rien. Pas une paire de lunettes en vue... Par contre, on profite pour se balader dans la ville blanche et bleue...





Après notre commande habituelle (si vous suivez, c'est toujours 2 galao et 2 sumols...), on file vers notre spot préféré, Ribeira d'Ilhas. Il y a des parasols en paille sur la plage et des infrastructures toutes neuves : WC, douches... Bref, c'est assez confort.

On passe la journée sur la plage. Les filles jouent mais c'est pas facile de se baigner avec les vagues. C'est shore break... Même notre surfeur, qui est resté dans l'eau toute l'après-midi, a dû mal à sortir! Alors nous... On se contente de la mousse au bord.


On rentre au camping bien satisfaits de notre journée.



lundi 22 juillet 2013

Eiriceras

Réveil de bonheur : c'est menaçant, il faut plier rapidement la tente. On choisit de mettre le cap sur Eiriceras, le temple du surf! Sur la route côtière, toutes les plages sont identifiées par une planche surf. Les spots se succèdent sur la mythique N247. Autant dire qu'on avance lentement...

On pique-nique sur une place, à Eiriceras. C'est chouette cette vue sur la mer.




Le bémol, c'est que les camions sont indésirables sur la commune d'Eiriceras...




Et il n'y a qu'un seul camping. Ce dernier est plutôt cher et sale (les emplacements sont couverts de papiers et des restes des précédents campeurs... sympa. Surtout pour les fourmis.). En fait, de nombreux campings se sont tournés vers les chalets, les mobilhomes ou les "tippies". Dommage pour les campeurs et autres campingcaristes...

Bref.

Nous optons tout de même pour le camping. Nous n'osons pas le camping sauvage, même si, après renseignements pris auprès de français, c'est possible sur le seul parking qui échappe aux interdictions. C'est celui du spot de "matadouro".

À bon entendeur...



Nous passons l'après-midi à Ribeira d'Ilhas.



dimanche 21 juillet 2013

Obidos

Ce matin, il fait froid et gris. C'est le temps idéal pour découvrir la ville d'Obidos. En arrivant, on se gare devant l'équipe de foot du Portugal peinte en géant sur les murs...


Dans la ville, ça grimpe. C'est médiéval. On déambule dans les petites rues. On fait une toute petite partie des remparts (en tongs, avec deux enfants, pas facile de faire le tour car ils ne sont pas sécurisés...). Et on s'arrête là : pour pouvoir entrer dans le marché médiéval gratuitement, il faut être habillé comme au moyen-âge... Et nous, on est habillés comme des touristes!


On retourne donc vers Peniche. Après le repas du midi, on tente un sieste au camping. Impossible, il fait trop chaud! Alors on sort l'aquarelle et on peint pendant que le surfeur surfe.
De retour, il nous emmène à nouveau à Baleal. Mais il n'y a plus de vagues et il commence à faire frais. On rentre au camping pour y passer notre dernier nuit.





samedi 20 juillet 2013

Peniche

Après une bonne nuit, c'est le tour des spots : pique-nique sur la plage de Baleal (adorable Presqu'ile au Nord de Peniche. Mon coup de coeur!). Les filles profitent de la plage, qui est plate. Donc, pas vraiment de vagues pour le surfeur...

On décide de chercher les vagues. Supertubos? Rien! On descend vers le Sud et découvrons alors des petits villages perchés, loin de la foule de Peniche. San Bernardino, deuxième coup de coeur de la journée!



On s'arrête sur la place, au seul troquet. La commande, c'est deux cafés et deux Sumol Laranja, l'orangina local que les filles ont définitivement adopté...



 Et on repart vers la grande plage de Baleal, mais cette fois plus proche de Peniche! Maé en profite pour faire son petit roupillon de la journée.



Lo surfe enfin. Et nous, les filles, on joue dans l'eau, on se baigne, on construit des tunnels...

Retour au camping : mauvaise surprise, la tente est infestée de fourmis. Pas le choix, la guerre leur est déclarée. On file acheter de la poudre anti-fourmis que l'on saupoudre autour de la tente. Ma conscience écolo en prend un coup mais, comme toutes les autres tentes sont circonscrites par des traits blancs, je me dis que c'est la seule solution...

On mange au camping et on file boire un dernier verre en ville. Coup de chance, c'est le carnaval. On assiste au défilé en mangeant des douceurs (glaces et pâtisseries...). On mange souvent au Portugal, hein!


On quitte le défilé avant la fin.

vendredi 19 juillet 2013

Nazaré

On se réveille sous une bonne couverture nuageuse... Et il ne fait pas bien chaud. C'est tout juste s'il ne bruine pas. On quitte Tocha vers le Sud pour trouver le soleil : direction Nazaré. C'est le bon choix, le soleil réapparait sur la route.


Arrivée sur Nazaré, on commence par les hauteurs. C'est beau; on surplombe la plage, la ville basse, ça donne envie de descendre!


On se gare derrière la criée pour pique-niquer au cul du camion. Ensuite, c'est la plage! Notre vraie première journée de plage. Autant dire que les filles sont ravies. Il n'y a pas tant de monde que ça sur le sable. Et l'eau n'est pas si froide! On profite, on mange des glaces en remontant vers le camion, et on croise des dames en jupons qui louent des chambres. Mais ce ne sera pas pour nous.

On reprend la route en direction de Peniche, la Mecque du surf, et son célèbre supertubos!

On a le choix entre 2 camping; on opte pour le peniche praia. Avec le recul, l'autre était aussi bien et moins cher... On se lance dans le montage de notre tente : on veut rester plusieurs jours (2 ou 3?). Le montage s'avère assez simple. Et tout le monde est bien content d'avoir sa chambre.

Pour notre premier soir dans cette ville qui vit encore de la pêche, on s'offre le resto : le canhoto II. Au menu, du bar, du poulpe...


On s'endort tous comme des loirs (surtout Lo qui a un sévère mal de dos... faut que tout ça se répare pour les premières sessions de surf!)

jeudi 18 juillet 2013

La Sierra Estrela

On lève le camp direction la mer! On paye le camping (8,75€ par nuit!). On demande notre chemin vers Guarda puis Figuera da foz. La dame du camping nous explique, dans un français parfait, les itinéraires possibles. Elle nous propose même un téléguidage par téléphone si on est perdus!



On choisit de passer par Penhas de Saude puis Seia (le coin des bons fromages...). Sur la carte, c'est l'itinéraire qui semble le plus court à vol d'oiseau... Mais on ne s'est pas rendu compte que c'est la route qui traverse la Sierra Estrela : on passe (péniblement et non sans appréhension, avec un cardan qui craque à chaque tournant!) le plus haut point du Portugal, Torre (1993m).


Le paysage est à couper le souffle : on voit quelques troupeaux (vaches, moutons) et des retenues d'eau. On est contents d'avoir réussi à passer sans encombre... Le pique-nique à Seia est bien mérité!



Ensuite, on file vers Praia de Mira. On est resté sur notre souvenir de novembre 2007 mais, cette fois, c'est l'été... Trop de monde pour nous, qui arrivons de la Montagne, trop de moustique aussi!

On descend vers Tocha. On va sur la plage pour tremper nos pieds. On découvre les bibliothèques de plages. J'aime cette idée : délocaliser pour l'été la bibliothèque municpale sur la plage et y proposer des ouvrages appropriés et des animations... Une idée à adopter... je verrai bien une bibliothèque de plage à Morgat ou à Saint Pierre de Quiberon...



Ensuite, on choisit un camping : les voisins sont aussi en camion et habitent Treillères... on n'est pas dépaysés! On échange nos bons plans pour la suite du voyage.

mercredi 17 juillet 2013

Valhelhas

C'est décidé, on reste une nuit de plus pour profiter du bassin aménagé de la Zézère.





Baignade, pique-nique, sieste, baignade, tout est parfait, sauf peut-être la poussière du sol qui nous fait les pieds marrons et les méchantes mouches aux ailes tachetées de jaune qui piquent. Ce soir, ça sera moustiquaire obligatoire.



Maé tente d'escalader les murets. Bilan : 3 bobos. L'ainée essaie vainement de capturer les poissons de la rivière avec un seau.



On termine la journée par un apéro sur la place du village : 2 Sagrès et 2 sumol, 4€!



mardi 16 juillet 2013

La route toujours

On se réveille vers 9h00 et on est sur la route à 10.

La route est longue. Il fait chaud. Nous pique-niquons dans une station à Burgos. Puis on enchaine les autoroutes espagnoles. La frontière portugaise est atteinte à 19h00. C'est un peu tard, même si on a bien roulé, car nous n'avons aucun pied à terre de réservé...

Ouf on réalise qu'il n'est que 18h, à l'heure portugaise!

Pour éviter d'avoir à adhérer à l'affreux système de péage électronique (après lecture sur différents forum, on a choisi d'emprunter au maximum les nationales...), on choisit de prendre la nationale 16 jusqu'à Guarda. Après le poste frontière, au 2ème rond point, il faut prendre à gauche, puis encore à gauche (il ne faut pas passer par dessus l'autoroute). On rate, on fait demi-tour et on finit par trouver (maudite carte au 100 000ème...où rien ne figure, à part les grandes routes et les villes... on découvrira par hasard plein de villages absents de notre carte!).

Le paysage est beau, les roches affleurent, la montagne sent bon, le soleil couchant donne une lumière dorée au paysage...

Mais le revêtement de la route est aussi bien pourri et les virages se succèdent, comme nous l'avait dit le monsieur portugais, au poste frontière, dans un français parfait.

À Guarda, on se perd à nouveau dans le centre ville (qu'il aurait fallu éviter...). On demande notre chemin et on repart vers Valhelhas, petit village au creux de la Sierra Estrella, au bord de la rivière Zézère.

On trouve enfin le camping identifié sur internet "parque de campismo do rossio" : Parfait! pas cher, calme et au bord d'une piscine naturelle (rives de la Zézère aménagées en plage fluviales. Ces aménagements sont assez nombreux dans la région Centre: http://www.praiasfluviais.pt/)




 On s'endort rassurés après avoir mis les pieds dans l'eau et mangé.



lundi 15 juillet 2013

La route

Nous quittons la région nantaise vers 11h00. On n'est pas pressés... On a 3 semaines... Notre premier arrêt sera le pays basque, pour un bonjour à la famille et la découverte du nouveau logement de Carine et Yann.

On roule bien (le lundi, c'est plus cool que le WE!). On prend l'autoroute jusqu'à Bordeaux. Puis on a le déplaisir de découvrir que la nationale après Bordeaux s'est gentiment transformée en autoroute. Sauf que, la première chose qui a été terminée, c'est le péage. Pour le reste, on roule à 110km/h, parfois moins.On découvre aussi les affreux portiques électroniques, copies conformes des portiques électroniques installés sur les anciennes IP (nationales 4 voies) au Portugal, les transformant non seulement en voies payantes, mais assujetties à un système pénible de paiement (sans barrières...). Affaire à surveiller...

Bref, cela ne change rien pour nous. On fait bonne route et on se permet même un crochet par le décathlon de Bayonne pour acheter un gonfleur. Et oui, nous partons en camion mais avons aussi fait l'acquisition d'une tente en fin de vie sur le bon coin (des fois qu'il nous prendrait l'envie de dormir en tente...) et un matelas gonflable.

Ensuite, direction Guiche pour notre première nuit dans le camion, au pied du château.


dimanche 14 juillet 2013

Avant de partir...

C'est parti pour 3 semaines d'aventures en camion... Notre camion, c'est une caravelle transporteur de chez WW qui date de 1992... L'aménagement est assez rudimentaire : une banquette se couche pour permettre de dormir à 3 sur un grand matelas (les parents et maé, 3 ans et demi). Quant à notre fille ainée (7 ans), elle dort à l'avant, sur un petit matelas disposé sur les sièges passager et conducteur. En plus, pour ranger notre bazar (vêtements, glaciaire, réchau', table pliante de camping, parasol... et surfs!) nous disposons de deux grands coffres sous le système de couchage.
Et c'est tout.
Donc forcément, nous savons déjà qu'il nous sera difficile de faire du camping sauvage. Ceci dit, au cas où, nous avons télécharger l'application park 4 night sur mon téléphone. Il y a aussi ce site que nous avons trouvé lors de nos recherches sur internet : furgovw.org

Côté préparatif, nous partons sans itinéraire imposé, à part une liste de spots célèbres en tête... Nous connaissons déjà 2 régions, l'Algarve dont nous apprécions particulièrement la cote ouest, pour son côté sauvage, et les plages entre Aveiro et Figuera da foz. Nous avons acheté une carte Michelin au 100 000ème qui s'avérera décevente (à choisir, il faut largement investir dans celle au 400 000ème). Mais cette carte incomplète sera l'occasion de nous perdre de nombreuses fois et d'emprunter des chemins que nous aurions surement évité avec la carte plus précise nous faisant alors manquer de splendides itinéraires secondaires!

Avant de partir, nous sommes plein d'à priori : au Portugal il fait très chaud, donc nous n'emportons que des vêtements très légers (manches courtes, shorts et jupes) et un seul duvet... et la mer est glacée (nous prenons donc des combinaisons et des tops pour tout le monde)... Nous découvrirons l'inverse : au Portugal, les nuits sont fraiches et les soirées en bord de mer peuvent être chargées d'humidité (il faut impérativement prévoir des vêtements manches longues, pantalons et pyjamas ainsi que des duvets légers pour la nuit). Nous achèterons des pulls sur place. À l'inverse, l'eau n'est pas si froide : nous nous sommes tous baignés, tous les jours, en maillot de bain.

Allez, on commence le récit de voyage!